
La situation est grave; en avril, les concentrations de CO2 ont atteint 400 parties par million pour la première fois en 3 millions d'années. Les émissions semblent se diriger vers une hausse de température de 4 à 6,1 degrés Celsius, alors que la plupart des experts s'accordent sur le fait que cette hausse ne devrait pas dépasser les deux degrés afin d'éviter une perturbation irréversible.

Le riz, le maïs, le soja et le blé sont les sources principales de nutriments pour plus de deux milliards de personnes vivant dans les pays pauvres. Mais avec le changement climatique et la quantité croissante de C02 dans l'air que nous respirons, leur valeur nutritionnelle déjà faible comparée à la viande, par exemple, devrait baisser.